Je m’voyais déjà

Je m'voyais déjà

Le spectacle vivant, pour une poignée de milliardaires

Qu’il s’agisse de théâtre ou de musique, le « spectacle vivant » n’échappe pas au capitalisme financier. Dans toute la France, Paris en tête, le secteur est soumis à un phénomène de concentration aux mains de grands groupes, qui aspirent au passage quelques crédits publics. De la production de spectacles à la gestion de salles en passant par la billetterie, rien ne leur échappe. Avec des conséquences préoccupantes pour les salles indépendantes et la diversité culturelle.